là pour réussir votre colza

Le colza

Le colza, une culture aux multiples atouts !

Pierre angulaire de l’indépendance française en protéines végétales, les graines de colza font l’objet d’utilisations très diverses : alimentation humaine, alimentation animale (tourteau riche en protéines non-OGM), chimie végétale et source d’énergie renouvelable*.

Tête de rotation incontournable, absorbeur d’azote à l’automne, attractif pour les insectes pollinisateurs, c’est pour vous, agriculteurs, l’une des cultures les plus rentables ; mais qui nécessite aussi de faire face à de nombreux enjeux : évolution climatique, pression des insectes ravageurs sans réelle solution chimique.

« Réussir son colza » est un challenge auquel tous les agriculteurs s’emploient. Avec, comme clé d’entrée, réussir une bonne implantation afin d’obtenir rapidement un colza robuste qui résistera aux attaques d’insectes à l’automne, à la concurrence des graminées ou aux frimas de l’hiver.

*Le biodiesel de colza est une énergie renouvelable car le colza dont il est issu est inépuisable. Du champ à la pompe, le CO2 capté par le colza via la photosynthèse permet de compenser les émissions de CO2 issues des transports. Source : Terres Univia, mai 2018.

En fonction de l’avancée de la culture, cliquez sur les différentes phases et découvrez les enjeux et nos conseils pour réussir votre colza.

En ce moment !

Réguler le colza

A l’automne, les régulateurs de croissance ont pour objectif de réduire le risque d’élongation des plantes, surtout en cas de forts reliquats azotés et d’apports organiques dans les parcelles avant le semis. Au printemps, ils permettront de corriger les excès de densité ou de richesse du sol en azote, susceptibles d’entraîner un risque de verse.

Il faut rester vigilants au risque d'élongation des colza à l'automne. Celle-ci peut être favorisée par différents facteurs : un semis précoce, un automne doux, une forte densité, des reliquats d'azote...

A la fin de l’hiver, le colza peut redémarrer vite – trop vite – engendrant alors un risque de verse, avec tous les problèmes associés : difficultés à la récolte, baisse de rendement, baisse de qualité liée au développement des pathogènes…

Comment raisonner au mieux la régulation de votre colza ? Comment s’assurer de la rentabilité de vos interventions ?

Gérer les maladies du colza

Le colza est une culture assez sensible aux maladies. Il est donc essentiel de les repérer tout au long du cycle pour éviter d’importants dégâts. Les principales maladies du colza sont le sclérotinia, le phoma, la cylindrosporiose, l'oïdium, l’alternaria et le mycosphaerella.

Très préjudiciable au rendement, le sclérotinia du colza peut être contrôlé par une protection fongicide appliquée au bon moment. Le stade clé pour intervenir est le stade G1, c’est-à-dire la chute des premiers pétales.

Comprendre le cycle du sclérotinia, c’est mieux le contrôler !

Le sclérotinia étant une maladie très préjudiciable pour le colza, une bonne stratégie s'impose. Pour mettre en place une bonne stratégie anti-sclérotinia, vous devez prendre en compte différents éléments.

Les SDHI ont donc encore de bonnes raisons de rester le pivot de la protection contre le sclérotinia du colza.

Comment conserver la relation bénéfique mutuelle entre abeilles et colza ?

La maladie la plus préjudiciable du colza est le sclérotinia, mais d'autres maladies fongiques peuvent également s'avérer très nuisibles pour la culture.

Les étapes clés pour réussir votre colza

Le choix de la variété est la première étape pour réussir son colza et ainsi sécuriser sa récolte. Le choix de la semence de colza repose sur l’adéquation entre les caractéristiques de la variété et celles de son environnement.

L’objectif général de la phase d’implantation du colza est d’assurer la mise en place de la composante du rendement nombre de pieds/m2. Le colza doit pouvoir faire face aux aléas climatiques et à la pression des ravageurs. La densité de peuplement en sortie d’hiver est un facteur important pour optimiser le rendement de son colza.

Integral® Pro : la nouvelle solution de biocontrôle pour le traitement des semences de colza utilisable en agriculture biologique.

La culture du colza en couvert associé est une technique récente qui tend à se développer. Elle consiste à semer une légumineuse gélive en même temps que le colza.

Connaître la flore de ses parcelles est important afin de choisir le produit le plus adapté. Nous vous présentons ici les principales adventices du colza, graminées et dicotylédones.

Le colza est une culture assez sensible aux maladies. Il est donc essentiel de les repérer tout au long du cycle pour éviter d’importants dégâts. Les principales maladies du colza sont le sclérotinia, le phoma, la cylindrosporiose, l'oïdium, l’alternaria et le mycosphaerella.

Le colza est une culture assez sensible aux ravageurs. Il est donc essentiel de les repérer tout au long du cycle pour éviter d’importants dégâts. Les principaux ravageurs du colza sont les altises, charançons et méligèthes.

A l’automne, les régulateurs de croissance ont pour objectif de réduire le risque d’élongation des plantes, surtout en cas de forts reliquats azotés et d’apports organiques dans les parcelles avant le semis. Au printemps, ils permettront de corriger les excès de densité ou de richesse du sol en azote, susceptibles d’entraîner un risque de verse.

La récolte représente le point d’aboutissement de dix à onze mois de culture, avec pour objectif d’optimiser le rendement de son colza. Afin de ne pas perdre de précieux quintaux à cette étape clé, plusieurs éléments sont à considérer.

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L’utilisation des produits phytosanitaires est fortement encadrée et elle doit suivre les bonnes pratiques agricoles : préservation de l'environnement et de la biodiversité.

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